Me risquant à le compléter je dirais qu'à l'instar du fameux Napoléon - le 1 - ce président-là était petit mais son armée grande, nombreuse et non dépourvue de vrais stratèges, des gens à la vue aiguisée.
Que seul il n'eût rien pu mener à mal ("mener à bien" serait inadapté), mais que, bien entouré par ces chefs de guerre, puissants et flatteurs barons, il a pu réussir plusieurs coups pleins de poudre mais à courte portée.
Je dirais qu'à l'instar du - 1 - il a su nommer les barons roitelets de ceci, de cela ; mobiliser la phynance pour servir ses piètres desseins.
Qu'à l'inverse du - 1 -, cet insignifiant copycat qui n'est jamais devenu grand ne servait qu'une ambition personnelle, mais certainement aucune vision politique ni pour son pays, ni pour l'Europe qui l'entoure et encore moins pour le monde qui cerne celle-ci.
Qu'à l'inverse de la grande ombre sous laquelle il se planquait lorsque ça chauffait de trop, il n'avait pas une idée de la France mais des idées courtes et pas très propres pour, à court terme, nourrir sa cour et s'y ménager des niches pour après.
Qu'à l'inverse enfin du - 1 - il n'avait pas appris l'art militaire à Brienne mais celui d'entuber son prochain à l'école du milieu, nous voulons parler du milieu financier. Formation peu efficace pour fabriquer de grands hommes !
Qu'à l'inverse enfin de cet ancêtre discutable mais néanmoins administrateur de son peuple, ce médiocre, avant de se dissoudre dans un air du temps assez puant et qu'on espère dissipé par certain courant d'air printanier, n'a rien réalisé qui vaille. Raison pour laquelle les puissants barons n'ont pas levé le bout du gantelet pour lui permettre de gagner cette dernière campagne.
Il convient donc d'oublier le petit, mais de ne pas perdre de vue les barons, qui se cherchent un autre pion.
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