À supposer qu’il me faille, dans les limites d’une phrase paragraphe, formuler ce que j’entends par chance ou fortune, je rapporterais que je ne mets presque jamais de chapeau, à moins qu’il m’en tombe un sous la main et qu’il pleuve dru (concordance advenue tout près du Pont de Tolbiac, où je fis la connaissance de Kozlika), que l’exceptionnelle circonstance valut à mon pseudonyme d’internaute Bbt (abréviation sans âge de Bébert) de muter en Bibi-Ti par sortilège de l’Interlocutrice, et qu’à quelques semaines de là, la soudaineté de notre amitié neuve conduisit la Fée à parer de grâce princière, pli selon pli, chance et fortune, mon vilain petit canard de blogue.