Pantrine autoréférente
Appelons pantrine un pantoum dont les vers ne se répètent pas exactement...
A—B—a—b
B—C—b—c
C—D—c—d
D—A—d—a
... puisque leur taille varie dans l'ordre d'une quatrine métrique :
1—2—3—4
4—1—3—2
2—4—3—1
1—2—3—4 syllabes.
Mon couplet se répète en dix mesures. Second couplet à dix mesures encore. Puis à permuter tout, l’ordre encore change. Tout en mon pantoum change mais se répète.
Post-scriptum, 2 tentatives de pantrines à la limite, qui riment celles-là :
1—1—2—3 / 3—1—2—1 / 1—3—2—1 / 1—1—2—3 syllabes la première,
0—1—1—2 / 2—0—1—1 / 1—2—1—0 / 0—1—1—2 la suivante.
Quelques chevilles du genre h muet au huit de Pie_VIII.
Hans fonde les temps d’outre-tombe : sa profonde nuit en tombe huit. Nuit vaticane, Pie VIII moine cane sans stramoine. Contretemps.
? Beaux rêves Booz Tombeaux : Oz pleure L’heure d’hivers pleure ! ... Sèves vers ses rêves
Robert Rapilly [in Pantoums],
lundi 21 mai 2018 à 01:50
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Commentaires
1. Le jeudi 31 mai 2018 à 17:47, par La Baronne d'Exhouille City